Citations ajoutées le 28 décembre 2010

  
Henning Mankell

  1. [...] Peut-être a-t-on parfois des secrets qu'on ignore ?
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.38, Seuil/Policiers, 2010)
     
  2. - Presque cinquante balais, c'est ça que tu appelles jeune ?
    - Moi, j'en ai soixante. À cet âge-là, on a déjà franchi le sas.
    - Quel sas ?
    - Qui ne laisse passer que ceux qui sont destinés à vieillir.

    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.80, Seuil/Policiers, 2010)
     
  3. Quand on a un enfant et que cet enfant à son tour a des enfants - quelque chose est définitivement révolu.
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.85, Seuil/Policiers, 2010)
     
  4. Une surface, c'est un truc sur lequel tu dérapes. Ça se vérifie presque toujours.
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.103, Seuil/Policiers, 2010)
     
  5. [Nous nous sommes rencontrés] de la manière propre à toutes les rencontres importantes : par le plus grand des hasards.
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.134, Seuil/Policiers, 2010)
     
  6. Les gens qui ont été importants, on ne s'en libère jamais tout à fait.
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.349, Seuil/Policiers, 2010)
     
  7. Toute sa vie, il s'était efforcé de faire partie des forces positives à l'oeuvre dans le monde et s'il n'y avait pas réussi, eh bien, il n'était pas le seul. Que pouvait-on faire, en tant qu'être humain, sinon s'efforcer ?
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.361, Seuil/Policiers, 2010)
     
  8. Les rêves ont une valeur en soi ; on n'est pas obligé de les convertir en pratique.
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.398, Seuil/Policiers, 2010)
     
  9. Les enfants donnent le début d'un sens à nos vies, mais les petits-enfants le confirment.
    (L'Homme inquiet, trad. Anna Gibson, p.495, Seuil/Policiers, 2010)