Edward Albee
1928
  1. Tous les paradis ont leurs frontières.
    (Qui a peur de Virginia Woolf ?, trad. Jean Cau, p.61, Livre de Poche n°2624)
     
  2. Le signe le plus évident d'un cancer social... c'est la disparition du sens de l'humour. Aucune dictature n'a toléré le sens de l'humour. Lisez l'Histoire et vous verrez.
    (Qui a peur de Virginia Woolf ?, trad. Jean Cau, p.95, Livre de Poche n°2624)
     
  3. [...] une des choses les plus tristes, chez l'homme, c'est sa manière de vieillir...
    (Qui a peur de Virginia Woolf ?, trad. Jean Cau, p.131, Livre de Poche n°2624)
     
  4. Pour pénétrer dans le coeur d'un homme, il faut passer sur le ventre de sa femme.
    (Qui a peur de Virginia Woolf ?, trad. Jean Cau, p.151, Livre de Poche n°2624)
     
  5. J'adore les histoires que je connais déjà... Ce sont les meilleures.
    (Qui a peur de Virginia Woolf ?, trad. Jean Cau, p.189, Livre de Poche n°2624)
     
  6. Humilité n'est honte que pour celui qui humilie.
    (Délicate balance, trad. Matthieu Galey, p.17, Éd. Robert Laffont)
     
  7. Les désespérés sont les plus difficiles à supporter : c'est leur façon de se soulager.
    (Délicate balance, trad. Matthieu Galey, p.140, Éd. Robert Laffont)
     
  8. Au fond, on n'aime pas le bonheur. On tricote soi-même son désespoir, on se donne un mal pour ça !...
    (Délicate balance, trad. Matthieu Galey, p., Éd. Robert Laffont)
     
  9. [Une femme] doit songer à faire elle-même de ses enfants des étrangers avant qu'ils le deviennent tout seuls ; ça doit se préparer à ce déchirement.
    (Délicate balance, trad. Matthieu Galey, p.163, Éd. Robert Laffont)
     
  10. Le temps aussi, c'est une maladie. Tout arrive... trop tard, finalement.
    (Délicate balance, trad. Matthieu Galey, p.199, Éd. Robert Laffont)