Citations ajoutées le 13 juillet 2003

  
Maxence Fermine

  1. Pour devenir un virtuose du violon, il faut posséder deux qualités : savoir écouter et savoir entendre.
    (Le violon noir, p.11, Points, P1054)
     
  2. Venise [...] c'est un songe posé sur le bord de la mer.
    (Le violon noir, p.36, Points, P1054)
     
  3. Il n'est rien de pire que d'avoir été heureux une fois dans sa vie. Après, tout le reste, même une chose insignifiante, devient un grand malheur.
    (Le violon noir, p.52, Points, P1054)
     
  4. La vie est un théâtre et il n'y a qu'une seule représentation.
    (Le violon noir, p.99, Points, P1054)
     
  5. Quand tu possèdes la musique, tu possèdes tout.
    (Billard blues, [Billard blues], p.12, Albin Michel, 2003)
     
  6. La vie, en fait, c'est une partie de poker. Tout dépend de la valeur des cartes que tu as en main.
    (Billard blues, [Billard blues], p.14, Albin Michel, 2003)
     
  7. La musique, on a tous la nôtre, un air à soi. L'important, c'est de savoir le jouer assez bien pour que les gens aient l'envie de l'écouter. Ce n'est pas de la technique, ça, ni de l'inspiration ou du génie. C'est de l'émotion.
    (Billard blues, [Billard blues], p.15, Albin Michel, 2003)
     
  8. [...] c'était un type qui, à force de travail, changeait le hasard en destin.
    (Billard blues, [Billard blues], p.42, Albin Michel, 2003)
     
  9. Le billard, c'est comme la vie. Ça tient à un cheveu. Une seconde. Une rencontre. Un souffle.
    (Billard blues, [Billard blues], p.57, Albin Michel, 2003)
     
  10. C'est difficile de sourire quand on est triste, mais, lorsqu'on y parvient, ça donne un des plus beaux sourires qui soit.
    (Billard blues, [Billard blues], p.58, Albin Michel, 2003)
     
  11. Un cercle, même vicieux, c'est cohérent. Brisez-le et il ne ressemble plus à rien.
    (Billard blues, [Jazz Blanc], p.67, Albin Michel, 2003)
     
  12. Le jazz [...] c'est de la haute couture. Tu peux rejouer chaque soir la même mélodie, en utilisant les mêmes notes, ce ne sera jamais tout à fait la même. Chaque pièce est unique. Comme si tu brodais une robe différente chaque fois avec l'aiguille de ton saxophone et le fil de la musique. De loin, tu pourrais croire qu'il s'agit toujours de la même robe. Mais si tu y regardes d'un peu plus près, tu t'aperçois que la finition n'est jamais la même.
    (Billard blues, [Jazz Blanc], p.75, Albin Michel, 2003)
     
  13. N'oublie jamais ceci : jouer du jazz, c'est comme raconter une histoire. Une fois la musique envolée et le morceau terminé, il ne doit rester que tu bonheur... Sinon ça ne sert à rien. Strictement à rien !
    (Billard blues, [Jazz Blanc], p.123, Albin Michel, 2003)
     
  14. Ceux qui n'ont jamais joué au poker ne peuvent comprendre ce que signifie ce jeu. D'ailleurs ce n'est pas un jeu. C'est de l'adrénaline pure. Une question de vie ou de mort. À chaque tour de cartes, on joue sa peau. Et c'est ça qui fait du poker un jeu à part.
    (Billard blues, [Poker], p.149, Albin Michel, 2003)
     
  15. Le plus important aux cartes [...] ce n'est pas d'avoir du jeu. C'est de faire croire aux autres que tu en as.
    (Billard blues, [Poker], p.169, Albin Michel, 2003)
     

Hubert Mingarelli

  1. -[...] Oh ! Samuel ! tu nous fatigues à tourner autour du pot, qu'est-ce que t'attends ?
    - Peut-être parce que c'est agréable de penser qu'on tient une idée épatante et qu'on est déjà sûr que l'autre sera d'accord.

    (Le jour de la cavalerie, p.32, Points, P1053)