Marcel Achard
1899-1974
  1. J'adore répondre. Je réponds même quand on ne me demande rien.
    (Jean de la Lune, p.20, Livre de Poche n° 2458)
     
  2. Je chante faux, mais j'entends juste.
    (Jean de la Lune, p. 23, Livre de Poche n° 2458)
     
  3. [...] l'amour, c'est être toujours inquiet de l'autre.
    (Jean de la Lune, p. 174, Livre de Poche n° 2458)
     
  4. Le remède est dans le poison.
    (Patate (en exergue), Livre de Poche n° 2648)
     
  5. [...] attendre, c'est presque toujours espérer.
    (Patate, p.12 , Livre de Poche n° 2648)
     
  6. Les malheureux sont ingrats. Si j'acceptais ma malchance, je la justifierais.
    (Patate, p.23 , Livre de Poche n° 2648)
     
  7. ROLLO : Tu es d'une franchise assommante !
    ÉDITH : Tu préférerais que je ne dise pas ce que je pense ?
    ROLLO : Je préférerais que tu ne penses pas ce que tu dis !

    (Patate, p.27 , Livre de Poche n° 2648)
     
  8. VÉRONIQUE : Tu te parles à toi-même, tu vas devenir fou.
    ROLLO : Rien à craindre, je ne m'écoute pas !

    (Patate, p.38 , Livre de Poche n° 2648)
     
  9. L'amour est à ceux qui y pensent !
    (Patate, p.91 , Livre de Poche n° 2648)
     
  10. Il n'y a pas une femme qui vaille de mourir pour elle.
    (Gugusse, p.43 , Éd. La Table Ronde)
     
  11. Vaut mieux s'engueuler que de se sentir seul.
    (Gugusse, p.136 , Éd. La Table Ronde)
     
  12. Quand on aime, on aime toujours trop.
    (Gugusse, p.145 , Éd. La Table Ronde)
     
  13. [...] si on raconte son bonheur, on le diminue.
    (Gugusse, p.146 , Éd. La Table Ronde)
     
  14. [...] je t'aime amèrement.
    (Gugusse, p.161 , Éd. La Table Ronde)
     
  15. Celui qui n'a jamais perdu la tête, c'est qu'il n'avait pas de tête à perdre.
    (Gugusse, p.209 , Éd. La Table Ronde)
     
  16. Le baiser d'une femme, c'est la poignée de main du boxeur avant le combat.
    (Gugusse, p.232 , Éd. La Table Ronde)
     
  17. Quand on entend ce qu'une jolie femme dit, c'est qu'elle n'est pas vraiment jolie.
    (Gugusse, p.233 , Éd. La Table Ronde)
     
  18. Il n'est pas une seule jolie femme qui puisse satisfaire tous les désirs qu'elle inspire.
    (Je ne vous aime pas, p.48, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  19. Je n'ai pas de pressentiments, moi. J'évite ainsi toutes les bêtises qu'on fait en s'efforçant de les justifier.
    (Je ne vous aime pas, p.51, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  20. Il y a en toi, maintenant, tant de femmes différentes que tu perds tout ton prix à ne pas être partagée.
    (Je ne vous aime pas, p.96, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  21. Pour être spirituel, faut être deux...
    (Je ne vous aime pas, p.112, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  22. Si l'amour n'était pas la plus noble des passions, on ne le donnerait pas pour excuse à toutes les autres.
    (Je ne vous aime pas, p.127, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  23. L'espérance est un de ces remèdes qui ne guérissent pas mais qui permettent de souffrir plus longtemps.
    (Je ne vous aime pas, p.129, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  24. Quand un homme dit à un autre homme qu'il n'a pas pu avoir une femme, l'autre n'en doute jamais.
    (Mademoiselle de Panama, p.46, Éd. Gallimard/nrf, 1942)
     
  25. Il n'y a pas d'imprévu favorable. L'imprévu, c'est toujours un malheur qu'on n'attendait pas.
    (Mademoiselle de Panama, p.62, Éd. Gallimard/nrf, 1942)
     
  26. Le désespoir est le seul péché impardonnable.
    (Mademoiselle de Panama, p.64, Éd. Gallimard/nrf, 1942)
     
  27. L'important, ce n'est pas ce qu'on réussit, c'est ce qu'on essaie.
    (Mademoiselle de Panama, p.88, Éd. Gallimard/nrf, 1942)
     
  28. Il n'y a pas d'amour perdu.
    (Le corsaire, p.145, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  29. Je vous reconnais à ce que vous me cherchez.
    (Le corsaire, p.147, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  30. [...] l'amour, c'est peut-être d'être égoïstes ensemble.
    (Le corsaire, p.163, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  31. Le grand charme des femmes, c'est leur mystère. Elles mentent pour qu'on ne les comprenne pas.
    (Pétrus, p.235, Éd. Gallimard/nrf, 1926)
     
  32. L'oubli est le suprême refuge.
    (La Demoiselle de Petite Vertu, in Nouvelles histoires d'amour, p.31, éd. La Table Ronde, 1950)